Un papillon sur la banquise de Brigitte Guilbau

Quand on finit un livre de Brigitte Guilbau, quand on le referme, on n’a pas simplement fini un roman et... on ne va pas vers sa pile de livre à lire, pour s’en choisir un autre...
Là, commence la ribambelle de questions... Brigitte se définit comme une agitatrice de neurones, et elle est experte dans ce rôle...
J’ai commencé la lecture hier en fin d’après-midi. Continué en soirée... repris tôt ce matin, sans trop en relever les yeux...
Bousculée par le thème, tétanisée par cette femme et son projet.
Ai je compris son enfer ? Non, je ne crois pas, on n’est apte qu’à comprendre ce qu’on a vécu, traversé... l’enfer des autres, on peut l’imaginer, on peut tenter de le soulager par notre présence chaleureuse mais le comprendre, pas certaine.
Brigitte pourtant nous le racontera cet enfer, avec excellence.
J’ai suivi le cheminement, j’en ai compris le sens... tout en étant atterrée ...
Je ne révélerai pas bien sûr le dénouement...
Je citerai 2 phrases de la fin qui m’ont été droit au cœur, tant je me trouve en accord avec elles :
« Ce qui vaut le moins c’est ce qui peut s’acheter.
L’amour, on n’en reçoit pas moins parce qu’on le partage... »
Brigitte, merci 🙏 pour ces moments partagés avec toi... Merci pour ce grand écrit Guilbau, comme d’habitude...

Bravo également pour le choix du titre. 

🙏👍 Merci pour cet écrit, excellent... puisse t il être lu par un grand nombre... et en faire réfléchir quelques uns...

Les mots de l'éditeur

Un Papillon Sur La Banquise

 978-2-930848-97-6

Frédérique part pour l’Afrique avec la dernière lettre de son fils Manuel. 

 

Pourquoi s’envole-t-elle au pays des maisons sans adresse ?

 

Pour que les mots du mal qui la ronge sortent enfin.

 

Elle a appris trop tard le harcèlement qu’il vivait dans son établissement scolaire. Elle ignorait que le cauchemar commençait pour lui dès le réveil et que l’horreur prenait l’apparence de ses copains de classe. Que faire lorsque ces lieux de savoir et de vivre ensemble que sont les écoles deviennent ceux qui nous tuent ?

19,00 €
 
TTC
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La quatrième fée

 

Née à 32 ans

Jorg Oeuil