Les bons, les brutes et le neveu de JC Mornard

 

 

 

Un grand défaut à ce livre : trop court... On aimerait prolonger ces moments où on s'incruste chez Saratov, Monsieur Saratov, s'il vous plait.

Beaucoup de clins d'œil, de références... Son amour inconditionnel, par exemple, pour Arabesque et notre brave Jessica m'a un peu surprise, cela ne cadre pas trop avec le personnage... Mais ce personnage est tellement hors cadre, qu'après tout, il peut tout se permettre.

La description de quelques rêves, improbables, très cocasses m'ont rassurée (Des expériences perso délirantes...)

Un personnage qui se voudrait détestable mais qui, au final, est très attachant. J'ai aimé la manière, certes parfois brutale, mais si efficace dont il vient en aide à ce jeune. Pas de leçon, pas de conseils, juste un moyen de faire ressortir ce qu'il a en lui.

Un livre qui se lit avec plaisir et nous fait fondre de bonne humeur.

Juste une question : dans un écrit, on se demande toujours quelle est la part d'autobiographie...

 

Les bons, les brutes et le neveu